Le site des historiens de garde : mode d’emploi
Les historiens de garde, c’est plus qu’un livre, c’est aussi un site qui a deux fonctions.
- Tout d’abord, prolonger l’expérience des lectrices et des lecteurs en leur proposant tout simplement, dans l’onglet preuve/source, une partie des documents que nous avons utilisés pour écrire le livre. Sont ainsi exposées les « sources » sur lesquelles se serait appuyé Lorànt Deutsch pour écrire Métronome et qui disent exactement le contraire de ce qu’affirme l’auteur. Vous pourrez aussi voir les déclarations de l’acteur quant au « génocide vendéen » ou les liens troubles qu’entretiennent Jean Sévillia ou Dimitri Casali avec des publications d’extrême droite.
- Ensuite, permettre d’ouvrir sur d’autres sujets que nous n’avons pas pu aborder dans le livre, faute de place ou de temps. Par exemple, c’est seulement parce qu’il est paru après le rendu du manuscrit que nous n’avons pas inclus L’invention des Français, le récent ouvrage de Jean-François Kahn, dans les historiens de garde. Voilà une erreur réparée. Pareillement, nous nous intéressons aussi aux historiens de garde en dehors de l’Hexagone. Par exemple, Aurore Chéry s’en est allée voir ce qu’il en était en Suède et s’est intéressée au cas d’ Herman Lindqvist. Tout cela sans oublier le cas d’école de notre étude, Lorànt Deutsch, qui se livre par exemple à de surprenantes déclarations à propos de Jeanne d’Arc. Enfin, nous avons ouvert notre site à toutes les bonnes volontés, comme Alain-Jacques Czouz-Tornare qui a pris sa plume pour décortiquer vertement une émission de Franck Ferrand.
Bonne lecture.
Les auteurs